Boudjellal: « Si Cooper se désiste, il pourrait devenir, à lui tout seul, le second État le plus endetté après la Grèce »

L’affaire Cooper risque de durée et de se terminer en procès entre le RCT et le joueur.

Interrogé par Midi Olympique, Mourad Boudjellal ne lâchera rien

[pull_quote_center]Le crétin de la fédération australienne qui ne connaît pas son dossier doit savoir que la promesse d’embauche n’est plus la question. Les 150 000 € étaient à payer pour la sortie de promesse de contrat, mais Cooper a signé son contrat, je peux le produire s’il le faut, et la Ligue l’a reçu. Le contrat étant signé, la promesse est dorénavant caduque. À l’heure actuelle, si Cooper se désiste, il devra payer le montant du contrat ! Il pourrait devenir, à lui tout seul, le second État le plus endetté après la Grèce (rires) ! Maintenant, si ce mec de la fédération australienne a envie de payer 150 000 € de sa poche, il peut le faire. Cooper, s’il venait à ne pas honorer son contrat, aura plus besoin d’argent que de mots. Quant à leur implication dans l’affaire, bien sûr que la fédération australienne est concernée. Pour ma part, avant de prendre contact avec un joueur pour lui proposer un contrat, j’attends qu’il soit libre à la fin de la saison. En l’occurrence, la fédération australienne ne l’a pas fait puisque Cooper a signé un contrat de deux ans avec nous ! Nous, nous n’avons rien à nous reprocher. Le contrat a été signé, envoyé à la Ligue et, encore une fois, je peux le produire. Donc ce n’est pas nous, c’est le joueur qui est concerné. Il a signé une promesse d’embauche aux alentours de la fin avril, un mois et demi après il a signé le contrat : donc il a eu le temps de réfléchir avant de s’engager[/pull_quote_center]

 

Une longue procédure va s’engager

 

 

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